Blogue

En diffusion

De plus en plus, les gens apprécient l'utilisation des huiles essentielles en diffusion pour le simple plaisir de l'odorat ou pour des vertus ciblées. Ici, je vous suggère leurs utilisations pour assainir et aseptiser l'air ambiant ; ce qui va diminuer la propagation des germes (virus, bactéries, microbes).

Il est important de diffuser vos huiles essentielles à froid afin de garder toutes les propriétés intactes.

Comment diffuser à froid ? Voici quelques exemples : déposer les gouttes sur un mouchoir ou un bout de tissus près de vous, utiliser un diffuseur à air, utiliser un diffuseur de style brumisateur, nébulisateur ou ultrasonique. En tout temps, évitez les diffuseurs que l'on doit faire chauffer ; ceux-ci doivent être utilisés uniquement avec des parfums.

Quelques possibilités pour assainir et aseptiser l'air ambiant : citron (citrus limonum), eucalyptus (eucalyptus globulus ou eucalyptus radiata), sapin baumier (abies balsamea), thym rouge (thymus vulgaris), verveine des Indes (cymbopogon citratus).

Autres huiles essentielles antiseptiques : basilic (ocimum basilicum), bergamote (citrus bergamia), bois de rose (aniba rosaedora), lavande (lavandula angustifolia), melaleuca ou arbre à thé (melaleuca alternifolia), menthe poivrée (mentha piperita).

Voici le mélange que j'utilise à la Clinique Halte-Mieux-être en cette période où le mot virus est devenu VIRAL

• 3 gouttes d'huile essentielle de camphre (Cinnamonum camphora) pour ses effets stimulants pour les voies respiratoires et parce que ça sent bon ;
• 3 gouttes d'huile essentielle de citron (Citrus limonum) pour ses effets antiseptique et antibactérien atmosphériques ainsi que pour le plaisir de sentir le « propre » ;
• 3 gouttes d'huile essentielle d'eucalyptus radié (Eucalyptus radiata) pour ses effets décongestionnant, dynamisant, stimulant, relaxant, assainisseur d'air et antibactérien ;
• 3 gouttes d'huile essentielle de romarin (Rosmarinus officinalis) pour ses effets antiseptiques sur le système pulmonaire et parasiticide.

En interne

Lorsque vient le temps de réduire les symptômes et donner un coup de pouce au système immunitaire, il y a un mélange d'huile essentielle pris en interne qui est formidable et qui donne d'excellents résultats :

• 3 gouttes d'huile essentielle de citron (Citrus limonum) pour ses effets antiseptique, antibactérien, activateur du système immunitaire, vitaminique, tonique du système nerveux, régulateur du système endocrinien — cette huile essentielle est géniale pour la grippe, la gorge irritée, l'influenza, les bronches, les coups de froid ;
• 3 gouttes d'huile essentielle d'eucalyptus (Eucalyptus globulus) pour ses effets décongestionnant, expectorant, antiseptique, antiviral, antibactérien — cette huile essentielle est géniale pour calmer la toux et pour fluidifier les expectorations ;
• 3 gouttes d'huile essentielle de melaleuca (Melaleuca alternifolia) connue aussi sous le nom de Tea Tree pour ses effets antibactérien, antibiotique, antiviral, expectorant — cette huile essentielle est géniale pour les bronchites, le rhume, la toux, la grippe, les sinusites et les maux de gorge.

En prévention, ce mélange peut être utilisé une fois par jour ; je l'utilise lorsqu'il y a beaucoup de gens qui sont malades autour de moi.

En période de combat, j'utilise ce mélange à chaque repas. Évidemment, si les symptômes ne diminuent pas ou augmentent, la visite chez un médecin s'impose.

Pour les femmes enceintes, l'utilisation des huiles essentielles n'est pas recommandée.

Comment avaler ce mélange sans trop grimacer ? À l'aide d'une gélule végétale vide, en l'ajoutant dans un verre de jus de fruits ou encore en le mélangeant avec une cuillère de miel ou de mélasse.

Topique
Il pourrait être intéressant également d'utiliser les huiles essentielles directement sur la peau pour vous aider à combattre les symptômes indésirables des affections respiratoires.

Je vous suggère d'appliquer de 3 à 5 gouttes de l'une de ses huiles essentielles sur le haut de votre thorax et la nuque :

• Camphre (cinnamomum camphora) pour ses propriétés stimulantes des voies respiratoires et son côté analgésique.
• Épinette noire (picea mariana) pour ses propriétés anti-infectieuses, expectorant, antitussif. En prime, c'est un bon antistress.
• Laurier Noble (laurus nobilis) pour ses propriétés antibactérienne, antivirale et surtout pour vous aider à fluidifier le mucus et favoriser son expulsion des voies respiratoires.
• Pruche (tsuga canadensis) pour fluidifier le mucus des voies respiratoires et renforcer le système énergétique.
• Ravensare (ravensara aromatica) est utile pour aider à traiter la bronchite, la grippe, les infections et le rhume grâce à ses propriétés immunostimulantes.
• Thym rouge (thymus vulgaris) pour les problématiques respiratoires tenaces.
• En bain
• Pour être en mesure d'utiliser les huiles essentielles de façon sécuritaire dans le bain, je vous recommande fortement de les mélanger d'abord soit dans une mousse pour le bain, une poignée de sel ou une poignée de bicarbonate de soude. Cela permettra de réduire les gouttes en microgouttelettes et ainsi protéger vos muqueuses et votre peau.

Voici quelques exemples :

• Bois de rose (aniba raseaodora) pour ses propriétés antivirales et parce qu'elle stimule le système immunitaire. Mettre 15 gouttes.
• Lavande (lavandula angustifolia) pour ses propriétés antiseptique et bactéricide. En prime, elle régule le système immunitaire et aide pour les affections pulmonaires. Mettre 15 gouttes.
• Menthe poivrée (mentha piperita) parce qu'elle est aide pour les spasmes, les contractures, les tensions et les inflammations musculaires. Elle aidera également pour les voies respiratoires. Mettre 5 gouttes maximum.
• Pin sylvestre (pinus sylvestris) pour soulager les douleurs musculaires. C'est également une huile essentielle décongestionnante. Mettre 15 gouttes.
• Conclusion
• Où se procurer ces huiles essentielles ? À Clinique Halte-Mieux-être lors de votre visite. N'hésitez pas à discuter avec moi de vos besoins pour s'assurer que leur utilisation est bien indiquée pour vous, surtout si vous avez des particularités au niveau de votre état de santé.

L'utilisation des huiles essentielles jumelée avec de bonnes précautions universelles telles que de se laver les mains régulièrement ou utiliser un gel aseptisant, tousser dans le creux de votre coude, utiliser des mouchoirs de papier et les jeter à la poubelle immédiatement vous aideront à vous protéger.

Évidemment, ces recommandations ne remplacent pas celles de votre médecin ou votre pharmacien. S'il advient que les symptômes persistent, je vous suggère de consulter votre médecin.

Je vous souhaite de passer la saison froide en excellente santé !

Salutations chaleureuses,

Normand-Jimmy Gamache, orthothérapeute

Les différentes atteintes

Déjà, il faut savoir qu’il y a quatre types d’atteintes avec lesquels je peux avoir un impact positif. Les atteintes locales, référées, posturales et projetées sont des termes utilisés par les professionnels de la santé, comme votre massothérapeute clinicien, pour décrire différents types de douleur.

Lors de mon entrevue avant le massage, je tente dans un premier temps de déterminer le type d’atteinte le plus probable. C’est après que je poursuis mon investigation afin de cibler une problématique commune plus précise. Je pars de la douleur, qui est un terme très large, vers des symptômes plus précis. Si je me rapproche le plus possible de votre « réalité », plus efficace sera le traitement que je vous prodiguerai.

Et si jamais je soupçonne une problématique en dehors de mes champs de compétences, je vous indique quel type de professionnel vous devriez consulter. Il se peut aussi que je vous recommande de jumeler d’autres approches en complément avec les miennes.

Les atteintes locales

Les atteintes locales sont des douleurs qui se produisent directement à l’endroit où se trouve la source de la douleur. Par exemple, une douleur dans le cou pourrait être une atteinte locale si elle est causée par une blessure ou une problématique dans le cou.

Parmi les atteintes locales que je vois souvent : les tensions musculaires, les contractures, les torticolis, les tendinites, les entorses, l’arthrose.

Les atteintes référées

Les atteintes référées sont des douleurs qui se produisent à distance de la source de la douleur. Par exemple, une douleur dans le bras pourrait être une atteinte référée si elle est causée par une blessure ou une problématique dans le cou.

Ce type d’atteinte est en lien avec une névralgie, ou si vous préférez en lien avec un nerf. Le nerf, lorsqu’il est « coincé », donne des sensations de picotements, d’engourdissements ou de chocs électriques. Vous pourriez aussi remarquer une diminution de votre force ou une perte de sensibilité. Il est habituellement facile pour vous de suivre le trajet de cette douleur. Souvent, les clients me disent « Je ne sais pas si je rêve, mais j’ai l’impression que ça part de tel endroit X et ça va jusqu’à Y ». Le nerf peut être pincé à sa sortie de la colonne vertébrale ou être comprimé par des muscles trop tendus sur son trajet ou encore par d’autres structures.

Parmi les atteintes référées que je vois souvent : la fameuse sciatalgie, le syndrome du piriforme, le syndrome du tunnel carpien, la névralgie d’Arnold, la cervico-brachialgie.

Les atteintes projetées

Les atteintes projetées sont en lien avec des dysfonctionnements organiques. Je dois avouer que c’est souvent le type d’atteinte qui est le plus difficile à identifier. Pourquoi dit-on que ce sont des atteintes projetées ? Parce que le dysfonctionnement d’un organe va créer une zone d’irradiation de douleur ailleurs sur le corps. Donc, la douleur est projetée plus loin.

Par exemple, une difficulté d’élimination des selles et une accumulation de celles-ci dans l’intestin pourraient donner des douleurs dans la région lombaire. Un manque d’hydratation pourrait donner un mal de tête ressenti à la région frontale. Un foie engorgé pourrait donner des douleurs à l’épaule droite. Je pourrais continuer ainsi…

Pour ce type d’atteinte, je n’ai pas toujours les outils nécessaires pour traiter la problématique à la source. Par contre, je peux travailler avec les symptômes et grâce à des recommandations appropriées, vous aidez à améliorer la situation. Déjà, d’être en mesure d’identifier un possible dysfonctionnement me permet de faire de meilleures références, au besoin.

Parmi les problématiques que je vois souvent : mauvaise circulation sanguine, fibrose tissulaire, cellulite, constipation, problématiques respiratoires, sinusite, jambes lourdes, migraine.

Les atteintes posturales

Les atteintes posturales sont des douleurs qui se produisent en raison d’une mauvaise posture. Par exemple, une douleur dans le dos pourrait être une atteinte posturale si elle est causée par une mauvaise posture debout ou assise.

Dans les cas d’atteintes posturales, vous allez me dire que ça fait très longtemps que c’est là ou que vous n’êtes pas en mesure d’identifier un événement déclencheur précis.

Honnêtement, l’orthothérapeute, jongle très souvent avec ce genre d’atteintes ; c’est SA spécialité. En réalité, l’orthothérapeute voit les atteintes posturales dans presque toutes les problématiques pour lesquelles vous allez consulter.

Je m’explique. Vous consultez parce que votre tendinite vous empêche d’effectuer votre travail ou votre sport préféré. Il est fort à parier que l’irritation du tendon vient parce que l’articulation n’est pas dans un axe optimal. Pourquoi l’articulation n’est-elle pas dans un axe optimal ? Bien souvent, c’est parce que vous avez adopté une mauvaise posture. Ou il faut comprendre qu’une blessure peut engendrer une mauvaise compensation posturale si elle prend du temps à guérir. Vous voyez la belle roue infernale qui s’installe.

Vous pourriez me consulter également parce que votre nerf sciatique vous « énerve » depuis un bout de temps. Pourquoi le nerf sciatique peut-il être pincé à la sortie de la colonne vertébrale ? Encore là, il est bien possible qu’une mauvaise posture soit à l’origine. Par exemple, vous êtes assis de façon prolongée au travail et vous écoutez la télévision tout évaché sur votre divan le soir. En pensant à la roue infernale de tantôt, vous pourriez tomber sur la glace, coincer votre nerf sciatique. Vos mauvaises habitudes posturales pourraient ralentir votre remise en forme ; je devrai donc en prendre en considération lors du traitement.

Même les dysfonctionnements organiques peuvent voir le jour parce que le nerf qui innerve l’organe est coincé à sa sortie de la colonne vertébrale. Vous avez compris qu’une mauvaise posture pourrait être à l’origine des autres problématiques ou encore ralentir le rétablissement vers un bon fonctionnement de l’organe.

Ce que je rencontre souvent en clinique : mauvaise posture de sommeil, mauvaise posture au travail, surutilisation du téléphone, posture debout prolongée, une posture « croche » répétitive et prolongée.

En conclusion

Il est important de noter que les atteintes peuvent être causées par plusieurs facteurs, et il peut y avoir une combinaison de ces types de douleurs dans un seul cas. Il est donc important de consulter un professionnel de santé pour évaluer la source de la douleur et pour déterminer le meilleur traitement possible. Dans cet article, j’ai tenté de simplifier les choses, mais vous percevez sans doute toute la complexité derrière votre douleur. Moi qui aime les défis, me voilà devant un casse-tête à la hauteur.

Dans bien des cas, votre orthothérapeute ou votre massothérapeute clinicien peut être un intervenant de première ligne pour les problématiques communes.

N’attendez pas que vos douleurs disparaissent d’elles-mêmes, CONSULTEZ !

Salutations,

Normand-Jimmy Gamache, massothérapeute clinicien expert certifié MQ

Quand faire la cure ?

Cette cure pourra être faite deux fois par année en mars et en septembre, lorsque les grands changements de saison se font sentir.

Qui peut faire cette cure ?

Toute personne voulant améliorer sa santé et ceux qui souffrent de problématiques reliées à une grande acidité corporelle telles que l'inflammation chronique, l'ostéoporose, diminution de l'efficacité du système immunitaire, migraine, insomnie, arthrite, fatigue, et autre.
Par contre, cette cure ne sera pas conseillée pour une personne souffrant de faiblesse métabolique. Vaut mieux vérifier auprès d'un professionnel si vous avez des doutes.
Le déroulement de la cure

La cure de citron biologique se déroule sur 20 jours, de la façon suivante :

Jour 1 : prendre le jus d'un citron
Jour 2 : prendre le jus de deux citrons
Jour 3 : prendre le jus de trois citrons
Jour 4 : prendre le jus de quatre citrons
Jour 5 : prendre le jus de cinq citrons
Jour 6 : prendre le jus de six citrons
Jour 7 : prendre le jus de sept citrons
Jour 8 : prendre le jus de huit citrons
Jour 9 : prendre le jus de neuf citrons
Jour 10 : prendre le jus de dix citrons
Jour 11 : prendre le jus de dix citrons
Jour 12 : prendre le jus de neuf citrons
Jour 13 : prendre le jus de huit citrons
Jour 14 : prendre le jus de sept citrons
Jour 15 : prendre le jus de six citrons
Jour 16 : prendre le jus de cinq citrons
Jour 17 : prendre le jus de quatre citrons
Jour 18 : prendre le jus de trois citrons
Jour 19 : prendre le jus de deux citrons
Jour 20 : prendre le jus d'un citron

Notez bien : je vous suggère fortement le citron biologique puisqu'il aura de meilleurs nutriments. Un citron non biologique est possiblement cultivé dans un sol pauvre, donc, cela donne des citrons pauvres en nutriments.
Autres trucs pour diminuer sa trop grande acidité
Évidemment, une cure n'est pas une solution éternelle ou un miracle ; c'est un outil parmi tant d'autres. Il faut donc changer certaines habitudes de vie (petit à petit) pour améliorer sa santé. Voici quelques trucs simples pour vaincre une trop grande acidité et diminuer, au maximum, ses conséquences :
Buvez beaucoup d'eau ;
Faites de l'exercice sur une base régulière ;
Diminuer les aliments acides ou acidifiant (café, thé, les sucres et les aliments raffinés, les viandes rouges et les charcuteries, par exemple) ;
Augmenter la consommation des aliments alcalinisant (pomme de terre, courge, concombre, banane, poire, melon miel, raisins secs, noix, riz, couscous, par exemple) ;
Relaxer (prendre du temps pour soi, se faire masser, prendre un bain d'eau chaude avec de la boue de tourbe, rire, par exemple).
Pour obtenir d'autres trucs et de l'aide « Pour améliorer votre qualité de vie » comme lutter contre le stress et vos douleurs musculo-articulaires, n'hésitez pas à communiquer avec moi.
Bonne cure !

Normand-Jimmy Gamache, massothérapeute clinicien

Les conséquences les plus courantes

L’une des conséquences les plus courantes de tensions musculaires non traitées est la douleur. Les muscles tendus peuvent causer des douleurs aiguës ou des douleurs chroniques qui peuvent interférer avec les activités quotidiennes. Les tensions dans le cou et les épaules peuvent causer des maux de tête, des douleurs à la nuque et des douleurs dans les bras. Les tensions dans le bas du dos peuvent causer des douleurs lombaires et des douleurs dans les jambes.
Il n’est pas rare de voir les tensions musculaires se transformer en contracture musculaire (contraction involontaire et permanente) ainsi qu’en problématique inflammatoire telle que des tendinites, bursites, capsulites. À l’inverse, une blessure entraine, à son tour des compensations musculaires, l’installation de mécanismes de défense ; nous voilà dans une spirale infernale.
Les tensions musculaires non traitées peuvent également causer des déséquilibres musculaires. Les muscles tendus peuvent devenir plus courts et plus forts, tandis que les muscles antagonistes (muscles effectuant le mouvement contraire) peuvent devenir plus longs et plus faibles. Ces déséquilibres peuvent causer des douleurs articulaires, des instabilités et des blessures. Les déséquilibres musculaires peuvent également causer des problèmes posturaux, entrainant une usure prématurée des articulations et des disques vertébraux.
Les tensions musculaires non traitées peuvent causer, à long terme, des problèmes mentaux. La douleur chronique peut causer de la dépression, de l’anxiété et de l’insomnie. Les tensions musculaires peuvent également causer de la fatigue, de la difficulté à se concentrer. En d’autres mots, la douleur abaisse votre qualité de vie.

Traitement des tensions musculaires

Il est important de souligner que les tensions musculaires peuvent être traitées de différentes manières. Je vous suggère de me consulter rapidement pour évaluer la cause de vos tensions musculaires et pour déterminer les meilleures stratégies. Les traitements peuvent inclure des techniques de relaxation, des étirements, de la thérapie manuelle, de la thérapie par la chaleur et des exercices de renforcement. Il est également important de prendre des mesures pour prévenir les tensions musculaires en adoptant des postures appropriées, en faisant des pauses régulières lorsque vous faites des activités répétitives et en évitant les postures qui causent des douleurs.

Conclusion

En résumé, les tensions musculaires non traitées peuvent causer plus de dégât qu’une simple fatigue musculaire. Contrairement à ce que l’on pense habituellement, il faut agir pour que ces tensions disparaissent et évitent des problématiques inflammatoires, des troubles de la posture, de l’usure prématurée des articulations, de la douleur chronique. Soyons francs, vivre avec la douleur a de quoi nous rendre fous ! Prenez les choses en main et permettez-moi de vous accompagner « Pour améliorer votre qualité de vie ».

Votre orthothérapeute, Normand-Jimmy Gamache

Pression progressive et adaptée

Lorsque nous parlons d’un massage avec plus de force, en réalité on devrait parler de la capacité d’adaptation du toucher de votre thérapeute. Que ce soit pour un massage de détente ou thérapeutique, je devrais être en mesure d’offrir une pression adaptée à vos besoins. En d’autres mots, si le client demande une pression légère, modérée ou forte, je m’exécute. Ah oui ? Je réponds toujours à cette demande !?! En réalité, ce n’est pas aussi simple que cela ; si le muscle n’est pas préparé à recevoir une forte pression, vaut mieux ne pas y aller trop vite, trop fort. Lorsque je masse un muscle, je dois aller chercher de la profondeur de façon progressive ; c’est aussi cela être à l’écoute de mon client ou de sa musculature. C’est ce qui fait la différence entre flatter et masser ! … ou massacrer…
Il y a aussi des techniques qui sont naturellement douloureuses pour certains clients. Je pense, entre autres, à la décongestion tissulaire. Dans ce cas, ma façon de m’adapter est de réduire la durée d’exécution de cette manœuvre, de l’entrecouper d’autres techniques… ou tout simplement de trouver d’autres stratégies. L’idée est de rester dans une fenêtre de douleur acceptable. Comme certains de mes clients me disent « Ça fait mal, mais ça fait du bien. ».
Alors, parlez-moi du type de pression que vous aimez et je veillerai à répondre, au mieux, à votre demande, quel que soit le type de massage que je vous aurai proposé ou que vous me demanderez.

Massage thérapeutique

Dans la plupart des cas, les clients disent qu’ils veulent un massage plus sportif lorsqu’ils ont besoin d’un massage thérapeutique. En quoi consiste ce genre de massage ? C’est à ce moment que je mets à votre disposition tout mon savoir-faire et mes connaissances pour :

• Augmenter l’amplitude de mouvement ;
• Diminuer les symptômes inflammatoires (tendinites, bursites, par exemple) ;
• Diminuer les tensions musculaires et les contractures ;
• Diminuer les effets du stress ;
• Diminuer la fatigue ;
• Diminuer les adhérences ;
• Etc.

Lorsque vous avez ce genre de problématique, j’ai tout un arsenal de techniques et de manœuvres dans mon « coffre à outils » pour créer sur mesure LE soin qui répondra à VOTRE situation.

C’est ce genre de massage dont vous avez besoin ? Je vous suggère la kinésithérapie ou l’orthothérapie. Chacun SON massage ! Et dans ce cas-ci, c’est comme pour le cinéma, ce n’est pas parce que l’on y va toutes les semaines que le film est le même.

Massage adapté au sportif

Le VRAI massage sportif, selon moi, est en réalité un massage adapté au sportif ou à l’athlète pour l’accompagner dans la préparation d’un événement ou pour l’aider à récupérer après. En d’autres mots, le massothérapeute s’assure que le sportif offre les meilleures performances possibles en lui proposant des soins adaptés avant, pendant et après les moments sportifs importants.
Un peu comme pour le massage thérapeutique, je mets à votre disposition mes connaissances au service du sportif. Je prends en considération entre autres le sport, les mouvements à effectuer, les possibles blessures, le type de performance souhaitée. Selon les besoins du moment, je pourrai relâcher la musculature, stimuler les muscles ou aider à la récupération physique et mentale. Comme pour tous les soins offerts à la Clinique Halte-Mieux-être, l’important est que nous communiquions pour être le plus efficace possible.
Si c’est ce genre de soin que vous recherchez, je vous recommande la kinésithérapie. En me présentant vos besoins, je pourrai m’y adapter selon mes compétences.

Répondre aux besoins et aux attentes

Peu importe ce que vous entendez maintenant par l’expression « massage sportif », vous pouvez être certains que je répondrai à vos besoins et à vos attentes. Au-delà du vocabulaire, c’est ce qui est le plus important finalement !

Normand-Jimmy Gamache, votre massothérapeute clinicien

D’abord, examinons les méchants derrière ces douleurs. Les douleurs articulaires peuvent provenir de complices bien connus comme l’arthrose ou la tendinite. Imaginez-les comme des bandits de grand chemin, embêtants vos articulations sans pitié. Les douleurs musculaires, quant à elles, sont souvent le résultat de tensions à la suite de mouvements répétitifs ou de petites déchirures musculaires — les vilains petits garnements qui rendent chaque mouvement douloureux. Enfin, les douleurs nerveuses sont comme ces farces de cerveau sournoises, causant des ennuis comme la cervico-brachialgie ou le syndrome du tunnel carpien.

Mais ne vous inquiétez pas, votre kinésithérapeute est là pour sauver la mise ! Avec un arsenal de techniques secrètes (bien, pas si secrètes que ça maintenant), je peux vous aider à combattre ces méchants et ramener la paix dans vos mains. Des mobilisations musculaires aux massages relaxants, en passant par des outils dignes d’un kit de superhéros comme les ventouses et les lames de Guasha, j’ai tout ce qu’il faut pour améliorer la mobilité et réduire la douleur.

Et ce n’est pas tout ! En plus d’utiliser votre capacité d’autoguérison, je vous donnerai des conseils précieux sur les activités à éviter, les postures à adopter et même des exercices à faire chez vous pour garder vos mains en pleine forme.

En résumé, ne laissez pas les problèmes de main vous mettre K.O. Votre massothérapeute clinicien est là pour vous sauver la mise et vous ramener sur le chemin de la victoire. Alors, n’hésitez pas à nous contacter pour toute aide, que ce soit pour combattre les méchants ou simplement pour une vérification de routine.

À bientôt pour des mains plus heureuses et en meilleure santé !
Normand-Jimmy Gamache, votre allié dans la bataille contre les pépins musculosquelettiques des mains.

Le système lymphatique : le héros méconnu

Imaginez-le comme le système de nettoyage interne de votre corps, avec ses propres équipes de balayeurs dévoués. Le système lymphatique est composé de vaisseaux, de ganglions et d’organes qui travaillent ensemble pour éliminer les déchets, combattre les infections et maintenir l’équilibre hydrique de votre corps.

Que fait-il, au juste ?

Eh bien, il élimine les toxines, transporte les globules blancs (ces superhéros du système immunitaire), et aide à la circulation des liquides dans votre corps. En gros, c’est le superhéros de l’ombre qui garde votre corps en bon état de fonctionnement.
Un peu d’histoire
Au cours de l’histoire, le système lymphatique a longtemps été méconnu et mal compris. Son exploration remonte à l’Antiquité, mais sa fonction précise restait mystérieuse.
Cependant, au 17e siècle, l’anatomiste italien Gaspare Aselli fit une découverte révolutionnaire. En 1622, lors de la dissection d’un chien, il observa un réseau de vaisseaux laiteux dans l’intestin grêle, les nommant « vasa lymphatica ». Cette découverte marqua le début de la compréhension moderne du système lymphatique.
Au 19e siècle, grâce aux travaux du physiologiste allemand Johannes Peter Müller et du chirurgien français Charles-Emile Troisier, la fonction cruciale du système lymphatique dans l’immunité et la régulation des liquides corporels fut démontrée.
Des avancées majeures ont suivi, notamment les contributions de chercheurs comme Florence Sabin, la première femme à obtenir un doctorat en anatomie aux États-Unis, qui ont cartographié la structure et la fonction du système lymphatique.
Le drainage lymphatique manuel, quant à lui, est apparu au début du 20e siècle, grâce aux travaux du Dr Emil Vodder et de sa femme Estrid Vodder. Ils ont développé une méthode de massage spécifique après avoir remarqué que des mouvements doux et rythmés sur le visage et le cou semblaient stimuler la circulation lymphatique.
La méthode du Dr Leduc, une évolution du drainage lymphatique manuel, a été développée par le Dr Albert Leduc pour traiter le lymphœdème, un gonflement excessif dû à l’accumulation de liquide lymphatique. Sa méthode met davantage l’accent sur la réduction du volume de l’œdème et l’amélioration de la qualité de vie des patients.
Activer le système lymphatique : un talent de votre massothérapeute
C’est là que votre massothérapeute intervient avec son bagage de techniques et de savoir-faire. Le drainage lymphatique manuel, une méthode douce et efficace, est l’une des armes secrètes de mon arsenal. J’utilise la méthode Leduc.

Je peux utiliser le drainage lymphatique manuel (DLM) complet ou partiel pour plusieurs raisons :

Réduction de l’enflure et de la rétention d’eau : Le DLM peut aider à éliminer l’excès de liquide accumulé dans les tissus, ce qui peut réduire l’enflure et la sensation de lourdeur.
Amélioration de la circulation lymphatique : En stimulant la circulation lymphatique, le DLM peut aider à éliminer les déchets du corps, ce qui favorise un fonctionnement optimal du système lymphatique.
Renforcement du système immunitaire : En favorisant le mouvement des globules blancs et en éliminant les substances étrangères du corps, le DLM peut renforcer le système immunitaire et aider à combattre les infections.
Soutien post-chirurgical : Après une chirurgie, le DLM peut aider à réduire l’enflure, à favoriser la cicatrisation et à accélérer le processus de récupération en stimulant la circulation lymphatique.
Soulagement des troubles circulatoires : Pour les personnes souffrant de troubles circulatoires tels que l’insuffisance veineuse, la sensation de jambes lourdes ou le lymphœdème, le DLM peut être particulièrement bénéfique pour soulager les symptômes et améliorer la qualité de vie.
Des astuces à votre portée pour améliorer le fonctionnement de votre système lymphatique

Même si la massothérapie aide votre système lymphatique, il reste que certaines astuces simples peuvent vous aider à activer votre système lymphatique au quotidien :

Exercice régulier : La marche, la natation, le yoga et même la danse ou toutes autres activités physiques sont d’excellentes options pour stimuler la circulation lymphatique.
Respiration profonde : La respiration profonde et consciente peut aider à stimuler le flux lymphatique en favorisant la circulation sanguine et en activant le diaphragme. Quelques minutes par jour suffisent !
Hydratation adéquate : Dois-je vous rappeler l’importance de boire suffisamment d’eau tout au long de la journée pour maintenir un flux lymphatique fluide ?
Alimentation saine : Une alimentation équilibrée et riche en fruits, légumes et aliments entiers favorise la santé lymphatique. Au contraire, les aliments transformés et les excès de sel peuvent contribuer à la rétention d’eau.
Automassage : Des techniques simples et douces d’automassage peuvent aider à stimuler la circulation lymphatique. Par exemple : les pompages des ganglions lymphatiques.
Brossage de la peau : Le brossage de la peau lorsque vous prenez votre bain ou votre douche peut aider à stimuler la circulation lymphatique en éliminant les cellules mortes de la peau et en stimulant le système lymphatique superficiel.

Conclusion

Aujourd’hui, grâce aux progrès de la science et de la technologie, nous comprenons mieux que jamais l’importance vitale du système lymphatique pour la santé et le bien-être.
Avec le drainage lymphatique manuel et la méthode du Dr Leduc, je cherche à vous offrir un traitement ciblé et efficace pour soutenir votre bonne santé et votre bien-être général, en fonction de vos besoins individuels.
Lors de vos soins, je vous encourage à adopter des habitudes saines. Je vous accompagne à prendre en charge votre propre bien-être et à maintenir un système lymphatique sain entre vos séances de massage.
N’hésitez pas à me faire part de vos questions lors de nos prochaines rencontres.

Salutations,
Normand-Jimmy Gamache

Mais ne craignez rien, mes amis ! Voici un petit guide pour éviter cette situation fâcheuse. Avant de plonger dans le vif du sujet, commençons par quelques définitions parce que rien n’est plus sexy que le vocabulaire d’un professionnel, n’est-ce pas ?
Définitions express

• Périoste : la couverture « flash » de vos os, un peu comme le velours sur les bois des élans.
• Périostite : l’inflammation ou l’irritation du périoste. Comme un jeu de lumière dans une discothèque, mais beaucoup moins amusant.
• Tibia : l’os principal de la jambe, le mastodonte qui donne sa structure à ce segment important.
• Jambe : le segment cool du membre inférieur entre le genou et la cheville.

Pourquoi votre périoste s’énerve-t-il ?

C’est souvent la faute de la course effrénée ou de la marche avec trop d’enthousiasme. Le soleil pointe le bout de son nez, l’envie de bouger vous chatouille, et hop, on oublie la prudence.
Le périoste étant très vascularisé et innervé, quand la douleur le tient, c’est intense !
Comment garder la paix avec votre périoste ?
Musculation cool : Des muscles forts et équilibrés, comme les superhéros des membres inférieurs, aident à répartir la pression. Des squats et des fentes font des merveilles pour donner à vos jambes cette puissance sans effort.
Progression zen : Augmentez la distance ou l’intensité lentement. Pas de précipitation ! Rappelez-vous que Rome ne s’est pas construite en un jour, et votre endurance non plus.
Chaussures chics : Optez pour des chaussures de course dignes de la piste. Changez-les régulièrement, comme vous le feriez avec votre passion pour les séries Netflix.
Que faire quand la douleur fait une entrée fracassante ?
Écoutez votre corps : s’il crie « stop », faites une pause. Consultez un médecin si nécessaire ou un thérapeute manuel. Ne soyez pas celui qui ignore les signaux de détresse ! Le syndrome de l’autruche est dépassé…
Traitements VIP : La kinésithérapie et l’orthothérapie sont là pour vous. Le massage, le relâchement musculaire, le décollage tissulaire, les ventouses, le Guasha, le Moxa, le bandage neuroproprioceptif — tout un menu pour remettre les choses en ordre.
Activités alternatives : Nagez, faites du yoga, mais ne restez pas inactif. L’idée, c’est de bouger différemment.

Conclusion épique

En suivant ces conseils, vous défiez la périostite et maintenez votre santé physique en tête d’affiche. N’oubliez pas : prévenir vaut mieux que guérir. Alors, prenez soin de vous, écoutez votre corps, et continuez à briller sur la piste sans douleur.
Et souvenez-vous, un massage régulier est votre allié secret pour une vie sans problèmes musculosquelettiques. N’attendez pas la douleur pour faire du bien à la machine la plus géniale que vous possédez : votre corps !

Avec tout mon amour et mon humour d’orthothérapeute,
Normand-Jimmy Gamache, le sauveur des tibias en détresse

Pourquoi masser les enfants ?

Imaginons un instant la vie trépidante d’un enfant — entre l’école, les jeux, les sports, les amis et les aventures quotidiennes, le stress peut s’accumuler plus vite qu’une pile de jouets dans leur chambre. Ajoutez à cela les changements constants dans leur petit corps en pleine croissance, et voilà une recette parfaite pour le besoin d’un peu de détente.

Bienfaits de la massothérapie pour les enfants

La massothérapie, un véritable coup de pouce pour nos petits aventuriers. Voici quelques points à prendre en considération :

Croissance physique : La massothérapie favorise une croissance saine en augmentant la circulation sanguine, facilitant la récupération musculaire et encourageant la flexibilité des articulations.
Soulagement de la douleur : Adieu douleurs de croissance et maux de tête, la massothérapie apporte un soulagement presque magique. La massothérapie aide également à réduire la douleur liée à des blessures, tout comme pour les adultes.
Détente musculaire : Relaxation instantanée pour les muscles tendus, disons au revoir aux contractions et crampes inattendues.
Développement moteur : En travaillant les muscles et les tissus, le massage peut contribuer au développement moteur, améliorant la coordination et la conscience corporelle des petits cascadeurs.
Système immunitaire : Des études suggèrent que la massothérapie peut donner un coup de pouce au système immunitaire, aidant les enfants à résister aux maladies comme des petits superhéros en herbe.
Soutien émotionnel : Un allié précieux pour les petits héros luttant avec l’anxiété, la dépression ou l’hyperactivité. La massothérapie peut aider les enfants à gérer l’anxiété liée à l’école, aux activités et à d’autres pressions de la vie.
Meilleur sommeil : Le massage devient le billet d’or pour des nuits plus sereines, détendant les muscles et chassant le stress.
Concentration accrue : Réduisant le stress, le massage aide les enfants à se concentrer comme de véritables champions.

La massothérapie et la loi au Québec

Il est important de noter que je travaille dans un contexte où il est important d’assurer le confort, la sécurité et le respect de nos petits. Malgré la confiance que vous me portez, et j’en suis reconnaissant, voici deux règles qui sont importantes :
Pour les enfants de 14 ans et moins, un parent doit les accompagner pour une séance de détente en massage.
Les jeunes de 18 ans et moins doivent être accompagnés par un parent pour un soin thérapeutique en massage.

Conclusion

En somme, la massothérapie offre un cocktail de bienfaits pour nos jeunes, les aidant à grandir, à s’épanouir et à affronter le monde avec toute l’énergie et la sérénité dont ils ont besoin. Honnêtement, n’est-ce pas un bel apprentissage à offrir à ces futurs adultes responsables ?
Alors, chers parents, pourquoi ne pas offrir à vos petits trésors un moment de relaxation bien mérité ? Après tout, les enfants ont aussi le droit de dire : « Maman, papa, aujourd’hui, c’est moi qui prends soin de moi ! »
À bientôt sur la table de massage, que ce soit pour les petits ou les grands !

Sereinement vôtre,
Normand-Jimmy Gamache, votre massothérapeute magicien

Les bienfaits de l’orthothérapie pour la fatigue chronique

La massothérapie spécialisée offre une panoplie d’avantages significatifs dans la prise en charge de la fatigue chronique, contribuant ainsi à restaurer le bien-être physique et émotionnel. Voici quelques-uns des bienfaits notables :
Soulagement de la fatigue : En agissant sur la tension musculaire, l’orthothérapie favorise la détente profonde, permettant ainsi une réduction significative de la fatigue physique.
Réduction de la douleur : En améliorant la flexibilité et la mobilité articulaire, l’orthothérapie contribue à atténuer la douleur associée à la fatigue chronique, facilitant ainsi une meilleure gestion au quotidien.
Gestion de l’anxiété et des émotions : L’orthothérapie a démontré son efficacité dans la diminution de l’anxiété, offrant un répit bienvenu aux personnes confrontées à la fatigue chronique et à ses implications émotionnelles.
Optimisation du sommeil : En favorisant la détente musculaire et en réduisant les tensions, l’orthothérapie favorise un sommeil de meilleure qualité, crucial pour la récupération physique et mentale.

Conclusion

L’orthothérapie se profile comme une approche holistique pour améliorer la qualité de vie des individus souffrant de fatigue chronique. Ces personnes, souvent confrontées à l’isolement et au découragement dus à l’épuisement persistant et à l’incapacité à mener une vie normale, peuvent trouver un soulagement tangible grâce à cette méthode thérapeutique. Bien qu’il soit essentiel de comprendre que l’orthothérapie ne constitue pas une guérison de la fatigue chronique, elle représente une solution viable pour atténuer les symptômes et favoriser une amélioration globale du bien-être.
En me consultant pour cette condition, je pourrai établir un plan de traitement personnalisé. En combinant des approches thérapeutiques variées, il est possible de mieux gérer la fatigue chronique et de retrouver progressivement une qualité de vie plus équilibrée.

Normand-Jimmy Gamache, orthothérapeute

Puisque je ne peux parler au nom de tous les thérapeutes manuels, voici comment je procède. Lorsque j’évalue la situation au début et à la fin de votre soin, mes recommandations pour votre prochain rendez-vous sont en lien avec des éléments concrets : la présence des symptômes, leurs intensités et leurs impacts sur votre quotidien.
Établir la phase du plan de traitement
Bien que vous souhaitiez qu’un rendez-vous chez le massothérapeute soit miraculeux, cette rencontre s’intègre dans un plan de traitement. C’est-à-dire que je vois la rencontre du moment dans un continuum temporel qui me permet de travailler le plus efficacement possible une problématique… à tout le moins de contrôler les effets et les symptômes et vous offrir la meilleure qualité de vie possible lorsqu’il s’agit d’une situation chronique. Ce continuum se nomme en réalité un plan de traitement.
Un plan de traitement se subdivise principalement en quatre phases :

• Phase aigüe ;
• Phase symptomatique ;
• Phase de consolidation ;
• Phase préventive.

Identifier la phase où vous en êtes dans votre traitement me permet de mieux choisir les actions et les stratégies pour vous aider pendant les soins. Cela me permet également de savoir quand nous devrions nous revoir prochainement.
Examinons cela plus en détail.
Phase aigüe
Habituellement, lorsque vous êtes dans cette phase du plan de traitement, c’est que vous ressentez une urgence de me voir. Les symptômes sont très présents et surviennent souvent après un traumatisme tels une chute, un accident, un faux mouvement, etc.
Il arrive que vous vous disiez que ça va passer, les symptômes diminuent, mais la faiblesse est habituellement latente, prête à refaire surface. Je vous conseille de ne pas tarder à vous faire masser ; plus vite traité, plus vite la qualité de votre quotidien est rétablie. N’oubliez pas également que la douleur est une interprétation du système nerveux ; il se peut que cette analyse ne soit pas exacte ou complète. C’est pour cela que lors d’un massage, vous découvrez des endroits douloureux dont vous n’aviez pas conscience de leur existence.
Lors de cette phase, mes objectifs sont de :
Résorber l’inflammation ;
Diminuer la douleur.
Le prochain rendez-vous est assez rapproché, soit entre 24 à 72 heures.
Phase symptomatique
C’est la phase où vous comprenez très bien le mot thérapeutique dans mes soins (massothérapie, kinésithérapie ou orthothérapie). Vous en sentez le besoin parce que vous avez mal (des inconforts ou des douleurs) dans le quotidien. Ici, votre corps a besoin d’aide pour retrouver tout son potentiel.
Lors de cette phase, mes objectifs sont :
D’éliminer les contraintes musculosquelettiques ;
D’activer la cicatrisation des tissus ;
D’éliminer ou diminuer la douleur ;
D’augmenter l’amplitude de mouvement ;
De favoriser le retour de l’articulation dans son axe optimal.
Le prochain rendez-vous est rapproché : une fois par semaine. Quand ça commence à bien aller, nous passons à une fois tous les dix jours et ensuite une fois toutes les deux semaines.

Phase de consolidation

C’est une phase où beaucoup de mes clients croient, à tort, que les soins ne sont plus nécessaires. Pourquoi ? Parce que vous avez beaucoup moins mal. Parfois pas du tout.
Lors de cette phase, mes objectifs sont de :
Renforcer votre articulation et ses structures ;
Rééquilibrer votre posture ;
Modifier vos habitudes de vie.
Le prochain rendez-vous se distance au fur et à mesure que les symptômes diminuent : une fois toutes les deux semaines, une fois toutes les trois semaines et ensuite une fois toutes les quatre semaines.
Phase de prévention
Le but ultime ! Vous voudriez tous vous retrouver dans cette phase. En général, vous voyez ce type de massage davantage comme de la détente. En comparaison avec l’entretien régulier de votre voiture : même quand tout va bien, vous allez au garage faire le changement d’huile et les vérifications aux 6 000 km juste pour vous assurer que la voiture est au mieux et qu’elle dure longtemps, ou qu’elle garde la meilleure valeur de revente.
Lors de cette phase, vous comprenez facilement que mes objectifs sont :
D’entretenir la forme musculaire ;
D’éviter l’apparition de tensions musculaires ;
De maintenir une bonne hygiène articulaire.
Le prochain rendez-vous est au départ une fois par mois. Si tout va bien, je peux vous suggérer une fois toutes les six semaines, une fois tous les deux mois ou encore une fois à la saison. Tout dépend de votre réalité et de vos habitudes de vie.

Conclusion

Lorsque vous me consultez pour une problématique, je vous accompagne de sorte que vous traversiez le plan de traitement au complet. Le but ultime est que les symptômes disparaissent ou qu’ils soient à leur minimum d’intensité. Je veux prévenir son retour, mais aussi éviter l’apparition d’autres problématiques.
Maintenant, comment allez-vous trouver la bonne fréquence pour votre prochain rendez-vous ? En simplifiant, plus il y a de symptômes et plus votre quotidien est affecté, plus vite nous devons nous revoir. Un des indices les plus parlants est la durée que les effets du traitement tiennent. Par exemple, je vous suggère, ou vous décidez que votre prochain massage est dans trois semaines. Si après le massage vous vous sentez bien pendant une semaine et que vous souffrez pendant deux semaines, manifestement un rendez-vous trois semaines après est trop loin. Restons à une semaine d’intervalle dans ce cas. Nous pourrons augmenter la fréquence de façon prudente. Essayez un dix jours, ensuite un quinze jours…
Qu’arrive-t-il si le prochain rendez-vous ne correspond pas à la phase du plan de traitement ? Le quotidien va tout simplement ajouter des tensions et de l’irritation. Lors du prochain massage, il faudra recommencer à enlever les tensions de surfaces sans pouvoir aller en profondeur, à la source du problème. Plutôt que d’être efficace à long terme, nous soulageons temporairement les symptômes.
Que faire pour vous assurer d’augmenter le plus rapidement possible la fréquence de vos traitements ? Là, il faut être honnête et se dire que cela dépend beaucoup de vous ! C’est-à-dire que votre implication en dehors des rendez-vous est importante. Mettez en application mes recommandations. N’hésitez pas à me parler des effets du massage ou des symptômes que vous ressentez ; au besoin, prenez des notes. Racontez-moi également les défis que vous avez à la mise en application de mes conseils.
De mon côté, je m’engage à mettre à profit mes connaissances lors de nos rendez-vous et de vous outiller au mieux afin que la fréquence des séances se rallonge le plus prudemment et le plus rapidement possible.
Je vous dis à bientôt !

Normand-Jimmy Gamache, orthothérapeute

Respecter un horaire régulier

Pour maintenir une bonne hygiène de sommeil, il est recommandé de respecter un horaire régulier de sommeil. Il est important de se coucher et de se réveiller à des heures fixes, même le week-end, pour maintenir notre horloge biologique en équilibre. Il est également important de créer un environnement de sommeil confortable, en maintenant une température ambiante agréable, en utilisant des couvertures et des oreillers confortables et en réduisant les bruits et la lumière.
Limiter les écrans
Il est également important de limiter les activités électroniques avant de se coucher. Les écrans de téléphone, de tablette ou d'ordinateur peuvent perturber la production de mélatonine, une hormone qui régule notre horloge biologique. Il est donc recommandé de limiter l'utilisation des écrans au moins une heure avant de se coucher.
Limiter la consommation de produits excitants
Il est également important de maintenir une bonne hygiène de sommeil en évitant de consommer de la caféine, de l'alcool et de la nicotine avant de se coucher. Ces substances peuvent perturber la qualité du sommeil et rendre plus difficile l'endormissement.
Gérer le stress
Enfin, il est important de gérer le stress pour maintenir une bonne hygiène de sommeil. Le stress peut perturber l'endormissement et la qualité du sommeil. Il est donc recommandé de pratiquer des techniques de relaxation, comme la méditation ou la respiration profonde, pour gérer le stress avant de se coucher. Cette gestion du stress est importante, même lorsque vous croyez ne pas vivre de stress.

En conclusion

En résumé, pour maintenir une bonne hygiène de sommeil, il est important de respecter un horaire régulier de sommeil, de créer un environnement de sommeil confortable, de limiter les activités électroniques avant de se coucher, de maintenir une bonne hygiène alimentaire et de gérer le stress. En respectant ces règles, nous pourrons améliorer notre qualité de sommeil et donc notre qualité de vie.

Normand-Jimmy Gamache, votre orthothérapeute

Les tensions et les contractures
Une des atteintes les plus courantes dans la région cervicale est la tension musculaire, voire la contracture musculaire. Cela peut être causé par de nombreux facteurs tels que les mouvements répétitifs, les positions inappropriées, les blessures et les déséquilibres musculaires. Les personnes souffrant de tensions musculaires dans la région cervicale peuvent ressentir des douleurs aiguës ou chroniques dans le cou, la nuque et les épaules, ainsi que des maux de tête. Le torticolis est un bel exemple de ce type de problématique commune.

Avec un bon massage et des mobilisations appropriées, je suis en mesure, en général, de vous permettre de retrouver votre bien-être.

L’arthrose
L’arthrose cervicale est une autre atteinte courante dans la région cervicale. Il s’agit d’une dégénération des articulations qui peut causer des douleurs et des raideurs dans le cou ainsi que des difficultés à tourner la tête. Les gens qui souffrent d’arthrose cervicale peuvent également ressentir des symptômes (douleur, engourdissements, manque de force, picotements) dans les membres supérieurs allant du cou jusqu’aux mains. Malheureusement, plus la dégénérescence s’aggrave, plus les symptômes augmentent.

Les traitements en massothérapie spécialisée ne permettent pas de guérir l’arthrose puisque les dommages sont irréversibles. Cependant, grâce aux techniques de massage, il est possible de ralentir la dégénérescence et de préserver les tissus sains le plus longtemps possibles. Avec un bon suivi, la plupart de mes clients voient leurs symptômes diminuer et leur qualité de vie s’améliorer.

La hernie discale
Un peu comme pour l’arthrose, la dégénérescence du disque vertébral est irréversible. Mon travail est alors de soulager les symptômes et de ralentir la progression de la problématique. Certains de mes clients sont même en mesure de vivre sans symptômes pendant une bonne période en réduisant la pression inutile sur le disque.

Les troubles de la posture
Les troubles de la posture peuvent également causer des douleurs dans la région cervicale. Les personnes souffrant d’une mauvaise posture peuvent ressentir des douleurs et des raideurs dans le cou, ainsi que des douleurs dans le dos et les épaules.

Avec le rythme de notre vie, la surutilisation des technologies (les écrans sous toutes les formes, par exemple) ainsi que la sédentarité font que de plus en plus mes clients me consultent pour des problèmes qui sont à leur posture. C’est là que mes connaissances en orthothérapie peuvent vous aider !

En conclusion
Bien qu’il puisse y avoir bien des causes et des troubles touchant la région cervicale, mes formations en kinésithérapie et en orthothérapie me permettent de mettre à votre service mes connaissances pour vous aider à améliorer votre qualité de vie. Mon but est de vous outiller afin de limiter ou de prévenir les douleurs. Pour ce faire, mes traitements peuvent inclure différentes techniques de massage et de relaxation musculaire, des mobilisations ou l’utilisation d’outils tels que de la chaleur. Afin de bien vous accompagner dans votre quotidien, je pourrai vous faire des recommandations dans les domaines de la phytothérapie, des habitudes de vie ou encore des exercices.

Il est important de noter que ces atteintes peuvent être causées par plusieurs facteurs, il est donc important de consulter un professionnel de santé pour évaluer la source de la douleur et pour déterminer le meilleur traitement possible. C’est pour cette raison qu’il est possible que je puisse vous recommander de voir votre médecin ou un autre spécialiste en complément à mes soins.

Normand-Jimmy Gamache, votre orthothérapeute

Différents types d'exercices

Il existe différents types d’exercices qui peuvent être utilisés pour entraîner les muscles :

• Les exercices de résistance, tels que le levage de poids ou l’utilisation de bandes élastiques, sont efficaces pour augmenter la force et la masse musculaire.
• Les exercices cardiovasculaires, tels que la course à pied ou le vélo, aident à améliorer l’endurance musculaire.
• Les exercices d’étirement, tels que le yoga ou la gymnastique, peuvent aider à améliorer la flexibilité et la souplesse des muscles.

Il est important de varier les types d’exercices pour entraîner les différents groupes musculaires de notre corps et éviter les déséquilibres musculaires. Il est également important de respecter les limites de son corps et de ne pas s’entraîner trop intensément pour éviter les blessures.

En conclusion

En somme, le mouvement nourrit les muscles en les entraînant et en les forçant à se développer. Il est important de s’entraîner régulièrement et de varier les types d’exercices pour maintenir des muscles en bonne santé. Il ne faut pas oublier que la nutrition joue également un rôle important dans la croissance et la récupération des muscles.

Origine des contractures
Les contractures musculaires apparaissent lorsque votre muscle est mis à rude épreuve, que ce soit à cause du stress physique ou psychologique. Imaginez que votre muscle se retrouve en mode survie, prêt à en découdre avec le stress. C'est un peu comme s'il portait un bouclier et une épée en permanence, prêt à affronter tous les dragons du quotidien. Malheureusement, cette posture défensive demande beaucoup d'énergie et produit une tonne de déchets métaboliques. Et comme si cela ne suffisait pas, ça bloque la circulation des nutriments et l'évacuation des déchets. C'est un peu comme si votre muscle se transformait en dépotoir !
Au fil des semaines, cette accumulation de déchets métaboliques crée un véritable déséquilibre musculaire. Et là, les muscles accessoires, les petits héros du mouvement, doivent prendre le relais et effectuer un travail surhumain pour compenser les faiblesses des autres muscles.

Résultat : des contractures secondaires et un cercle vicieux qui s'installe. Vous devinez bien que par la suite, ce sont les muscles de la posture et de la respiration qui participent à cette compensation.
Prévenir et soulager
Maintenant que vous connaissez l'origine de ces satanées contractures musculaires, laissez-moi vous donner quelques astuces pour les prévenir et les soulager.
Tout d'abord, faites-vous chouchouter par un massothérapeute, un kinésithérapeute ou moi-même, votre orthothérapeute préféré. Vous méritez bien un petit moment de détente et de relâchement musculaire, n'est-ce pas ?
Ensuite, entraînez-vous de manière progressive. Ne vous jetez pas dans l'arène du sport comme un taureau en furie. Prenez le temps de préparer votre corps et d'écouter ses signaux. Rappelez-vous, il en va de même pour les activités quotidiennes ou celles que vous n'avez pas l'habitude de faire !
Accordez également à votre corps le temps de récupérer après un effort intense. Vous n'êtes pas Superman ou Superwoman, alors laissez-vous du temps pour recharger vos batteries. Les superhéros ont aussi besoin de leur pause-café, après tout !
Et n'oubliez pas de vous hydrater en buvant de l'eau. Oui, oui, je sais, l'eau c'est ennuyeux. Mais rappelez-vous que vos muscles en ont besoin pour bien fonctionner. Pensez-y comme un bain rafraîchissant pour vos petits guerriers musculaires !

Conclusion
En résumé, les contractures musculaires peuvent être causées par le stress physique ou psychologique, entraînant des douleurs chroniques et un embouteillage de déchets dans vos muscles. Il est donc primordial de prévenir et soulager ces contractures. Intégrez les soins de massothérapie spécialisée dans vos habitudes de vie, même lorsque vous pensez que tout va bien. Votre corps vous remerciera !

Amicalement vôtre,
Normand-Jimmy Gamache, votre super orthothérapeute

Définition de l’inflammation

L’inflammation est une réponse naturelle du corps à une agression ou à une lésion tissulaire. C’est une cascade de réactions biologiques qui implique le système immunitaire, les vaisseaux sanguins, les cellules inflammatoires et les tissus environnants. Lorsque des tissus sont endommagés par des blessures, des infections, des irritations ou d’autres facteurs, le processus inflammatoire se met en place pour tenter de réparer les dommages et de restaurer l’intégrité des tissus.

Le processus inflammatoire

L’inflammation se déroule en plusieurs étapes. Initialement, il y a une vasodilatation des vaisseaux sanguins, ce qui entraîne une augmentation du flux sanguin vers la zone affectée. Cela se manifeste souvent par des rougeurs et une sensation de chaleur. Ensuite, des cellules inflammatoires, telles que les leucocytes, se rendent dans la région touchée pour combattre les agents pathogènes et éliminer les débris cellulaires. Cette migration des cellules inflammatoires peut causer un gonflement et une sensibilité accrue dans la zone concernée. Enfin, des médiateurs chimiques, tels que les cytokines, sont libérés pour coordonner la réponse inflammatoire et favoriser la guérison.

L’inflammation souhaitée

Dans certains cas, l’inflammation est une réponse nécessaire et bénéfique du corps. Par exemple, lorsqu’une infection bactérienne survient, l’inflammation permet de mobiliser les cellules immunitaires pour combattre les agents pathogènes et éliminer l’infection. De plus, après une blessure, l’inflammation aide à éliminer les tissus endommagés et à commencer le processus de réparation. Dans ces contextes, l’inflammation est un mécanisme protecteur qui favorise la guérison et la récupération.

L’inflammation indésirable

Cependant, il existe des situations où l’inflammation devient chronique ou excessive, ce qui peut être préjudiciable pour la santé. L’inflammation chronique peut se produire en raison de facteurs tels que des réactions auto-immunes, des troubles métaboliques, des allergies ou un stress oxydatif prolongé. Cette inflammation persistante peut endommager les tissus sains et contribuer au développement de maladies chroniques, telles que l’arthrite, les maladies cardiovasculaires, les maladies auto-immunes et certaines formes de cancer. Dans ces cas, il est important de contrôler et de réduire l’inflammation excessive afin de prévenir les dommages et d’améliorer la santé globale.

Signes et symptômes de l’inflammation

Lorsqu’une inflammation se produit, certaines manifestations cliniques peuvent être observées. Les signes classiques de l’inflammation comprennent la rougeur, la chaleur, le gonflement, la douleur et la perte de fonction dans la zone touchée. Ces symptômes varient en fonction de la gravité et de la localisation de l’inflammation.

Contrôler l’inflammation

Pour contrôler l’inflammation, il existe plusieurs approches à adopter. Tout d’abord, il est essentiel de traiter la cause sous-jacente de l’inflammation, que ce soit une infection, une blessure ou un trouble chronique. Ensuite, certaines mesures peuvent aider à réduire l’inflammation, telles que l’adoption d’une alimentation saine et équilibrée riche en antioxydants et minéraux, la pratique régulière d’une activité physique modérée, la gestion du stress, le maintien d’un poids santé et l’évitement des facteurs déclencheurs connus d’inflammation.

Il existe aussi des anti-inflammatoires pharmaceutiques ou naturels. Il peut être nécessaire d’en discuter avec votre professionnel de la santé, votre pharmacien et votre médecin.

En tant qu’orthothérapeute, massothérapeute et kinésithérapeute spécialisé, je peux également apporter une contribution précieuse en utilisant des techniques de massage, des mobilisations musculaires et des thérapies physiques adaptées pour réduire l’inflammation locale, améliorer la circulation et favoriser la guérison.

Conclusion

En résumé, l’inflammation peut être à la fois bénéfique et préjudiciable pour la santé, selon le contexte. Comprendre les mécanismes de l’inflammation et savoir quand elle est souhaitée ou non désirée nous permet d’adopter des approches appropriées pour contrôler l’inflammation et favoriser la guérison. En travaillant de concert avec d’autres professionnels de la santé, je peux vous aider à mieux gérer l’inflammation et à maintenir votre bien-être général.

Normand-Jimmy Gamache, votre orthothérapeute

Recommandations de base

Voici quelques recommandations pour vaincre la douleur par le mouvement :

• Faites des étirements doux avant et après l’exercice. Les étirements peuvent aider à détendre les muscles tendus et à améliorer la flexibilité.
• Effectuez des exercices d’aérobique régulièrement. L’aérobique, comme la marche, la course à pied, le vélo, la natation, peut aider à améliorer la circulation sanguine, à renforcer les muscles et à réduire la douleur.
• Effectuez des exercices de renforcement musculaire pour renforcer les muscles qui soutiennent votre dos et votre colonne vertébrale.
• Effectuez des exercices de yoga ou de Pilates pour améliorer la flexibilité, la force musculaire et la posture.
• Faites des pauses régulières pour vous lever et bouger pendant que vous travaillez assis.

Adaptation

Il est important de noter que le mouvement peut varier d’une personne à l’autre en fonction de votre état de santé. En présence de douleur lors des exercices, il est important de consulter un professionnel pour adapter votre programme d’exercice pour éviter les complications ; pensez à un entraineur certifié! Votre thérapeute manuel tel qu’un massothérapeute, kinésithérapeute, orthothérapeute ou physiothérapeute pourra également vous accompagner dans vos démarches.

Conclusion

En somme, le mouvement est un moyen efficace de vaincre la douleur. Les étirements, l’aérobique, les exercices de renforcement musculaire, le yoga ou le Pilates, et les pauses régulières pour bouger sont tous des moyens de réduire la douleur et d’améliorer la flexibilité et la force musculaire. Il est important de consulter un professionnel de la santé avant de commencer un programme d’exercice pour éviter les complications. En suivant ces conseils, vous pouvez réduire la douleur et améliorer votre qualité de vie.

Normand-Jimmy Gamache, orthothérapeute

L'importance de s'hydrater pour les muscles

Lorsque nous sommes déshydratés, notre corps manque d’eau pour fonctionner efficacement. Les muscles peuvent devenir faibles et fatigués, ce qui peut entraîner des douleurs et des crampes. De plus, une mauvaise hydratation peut également entraîner une réduction de la performance physique, ce qui est particulièrement important pour les sportifs et les personnes actives.

L’hydratation joue également un rôle important dans la récupération musculaire. Les muscles ont besoin d’eau pour se réparer après l’exercice et pour se développer. Une bonne hydratation peut aider à réduire les douleurs musculaires et à accélérer la récupération.

Il est essentiel, voire primordial, de consommer suffisamment d’eau tout au long de la journée pour maintenir une bonne hydratation. Les sportifs et les personnes actives devraient boire encore plus d’eau pour compenser la perte d’eau due à la transpiration. Il est également important de boire de l’eau avant, pendant et après l’exercice pour maintenir une bonne hydratation.

Conclusion

En résumé, l’hydratation est essentielle pour la bonne santé de nos muscles. Une bonne hydratation peut aider à réduire les douleurs musculaires, à accélérer la récupération et à améliorer la performance physique. Il est donc important de boire suffisamment d’eau tout au long de la journée pour maintenir une bonne hydratation.

Normand-Jimmy Gamache, orthothérapeute

Origine du prénom Oscar

Quant à « Oscar », vous savez que c’est le nom communément donné aux squelettes humains utilisés pour l’enseignement et la recherche médicale. L’origine de ce nom n’est pas clairement établie, mais il y a plusieurs théories à ce sujet.

L’une des théories les plus courantes est que le nom « Oscar » a été donné en référence au personnage d’Oscar dans le roman « Le comte de Monte-Cristo » d’Alexandre Dumas. Dans le livre, le personnage d’Oscar est un jeune garçon qui assiste le médecin légiste dans ses autopsies.

Une autre théorie est que le nom « Oscar » provient du terme latin « os », qui signifie « os » ou « ossement ». En utilisant ce terme, les médecins ont créé un nom facile à retenir pour désigner les squelettes qu’ils utilisaient dans leurs cours.

Matériaux pour fabriquer les squelettes humains

Les squelettes humains sont souvent fabriqués à partir de différents matériaux en fonction de leur utilisation prévue. Les matériaux les plus courants sont le plastique, la résine et le métal. Il est important de noter que l’utilisation de vrais os humains dans des modèles de squelettes éducatifs est réglementée et soumise à des exigences éthiques strictes.

Les squelettes en résine, comme Senior Oscar Edente, sont populaires pour les modèles grandeur nature, car ils sont plus solides et résistants que les squelettes en plastique. La résine est un matériel dur et résistant qui peut être sculpté pour ressembler à de vrais os humains. Ils peuvent également être peints pour ressembler davantage à des squelettes réels.

Quelques faits

Le squelette humain compte 206 os au total et se compose de deux parties principales :

• Le squelette axial compte 80 os. Il comprend la colonne vertébrale, le crâne et les côtes.
• Le squelette appendiculaire compte 126 os. Il comprend les membres inférieurs et supérieurs, les ceintures scapulaire et pelvienne.

Les os ont plusieurs fonctions importantes dans le corps humain, notamment :

• Les os constituent le cadre qui soutient et donne sa forme au corps humain.
• Les os protègent les organes internes fragiles tels que le cerveau, les poumons et le cœur.
• Les os agissent comme des leviers pour les muscles, permettant le mouvement des membres et du corps dans son ensemble.
• Les os sont une source importante de minéraux tels que le calcium et le phosphate, qui sont nécessaires à la régulation de nombreuses fonctions corporelles, notamment la contraction musculaire et la coagulation sanguine.
• Le tissu osseux contient des cellules souches qui peuvent se différencier en cellules sanguines, telles que les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes.

Un personnage sympathique

Revenons maintenant à Oscar. Bien qu’il soit un squelette, il a pris vie pendant la pandémie COVID-19, lorsqu’il est devenu un personnage amusant pour divertir nos clients et amis. Il a commencé nu, mais avec les encouragements des clients, nous lui avons ajouté des vêtements, tels qu’un polo de la clinique, un bermuda, des souliers, et même une casquette à l’effigie de la clinique. Il est devenu si populaire qu’il a même reçu un nouveau polo avec le logo de la clinique et son nom brodé dessus pour Noël !

Depuis que Oscar est devenu la coqueluche de la clinique, il a vécu bien des situations loufoques. Par exemple : il accueille les clients, il prodigue des conseils, il raconte des histoires, il peinture, il est à l’origine de dégâts et de maladresses, il apprend les techniques de massage, etc.

Mais le plus drôle est peut-être quand Oscar a passé quelques jours chez moi pendant les congés du temps des Fêtes. J’ai profité de l’occasion pour le nettoyer en profondeur et pour lui faire vivre des situations inhabituelles, comme prendre un bain, boire du chocolat chaud, et jouer au Scrabble. Les réactions de mes voisins lorsqu’Oscar est entré dans ma voiture pour le retour à la clinique étaient mémorables — j’imagine qu’ils se demandaient s’ils avaient bien vu un squelette habillé avec un manteau d’hiver et un casque de poils entrer dans la voiture !

Conclusion

En conclusion, Senior Oscar Edente, la mascotte de Clinique Halte-Mieux-être, est bien plus qu’un simple squelette en résine. Il est devenu un compagnon amusant pour nos clients et un sujet de conversation cocasse. Mais il représente aussi l’importance de prendre soin de notre corps, en particulier de nos os, qui sont la fondation de notre squelette. Les os humains sont des structures essentielles pour la fonction et la survie du corps humain, et leur santé et leur intégrité sont vitales pour maintenir une bonne santé générale. Oscar Edente rappelle également l’importance d’une posture optimale et d’une musculature saine afin de permettre des mouvements fluides et complexes. J’espère que cet article vous a donné une idée de la complexité et de l’importance de cet aspect de notre corps.

Normand-Jimmy Gamache, parent adoptif d’Oscar 

• Faites des étirements et des exercices de renforcement pour renforcer les muscles et les tendons avant de commencer une activité physique.
  • Les étirements vous permettent de préparer les muscles et les tendons à l’effort.
  • Les exercices de renforcement vous permettent de fortifier les tendons et les muscles pour qu’ils soient moins sujets aux blessures.
• Évitez les mouvements répétitifs et les positions statiques prolongées qui peuvent causer de la fatigue, de l’irritation et de l’inflammation des tendons. Si vous devez effectuer des mouvements répétitifs, prenez des pauses régulières pour permettre à vos tendons de se reposer et de récupérer. Il est également important de changer régulièrement de position pour éviter de maintenir une position statique trop longtemps.
• Utilisez un équipement approprié et adapté. Les chaussures, les raquettes, les outils, les postes de travail et autres doivent être adaptés à votre morphologie et à votre activité pour éviter de mettre trop de pression sur les tendons.
• Arrêtez l’activité en présence de douleurs ou de raideurs. Si vous sentez des douleurs ou des raideurs dans un tendon, il est important d’arrêter l’activité et de faire de la glace sur la zone douloureuse pour réduire l’inflammation.
• Consultez ! Il est également important de consulter un médecin ou votre massothérapeute spécialisé (kinésithérapeute ou orthothérapeute) si vous avez des douleurs récurrentes. Grâce à un plan de traitement adapté, la capacité de guérison de votre corps sera facilitée et vous pourrez retrouver vos activités normales plus rapidement que si vous ne faites rien.
• Respectez les limites de son corps. Ne forcez pas sur des exercices ou des activités qui sont trop difficiles pour vous, et écoutez les signaux d’alarme que vous envoie votre corps.

En suivant ces conseils, vous pouvez réduire considérablement les risques de tendinite et continuer à profiter de vos activités physiques sans douleur. Advenant le cas où la tendinite est installée, mettez en application ces recommandations afin de réduire la douleur et vous assurez une guérison pleine et entière. Plus vite que la douleur est adressée, plus vite la guérison est possible.

Normand-Jimmy Gamache, orthothérapeute

Pendant le jour, nous accumulons des tensions de toutes sortes. Pendant la nuit, l’idéal est de pouvoir relâcher les muscles. Pour y arriver, nous devons donc adopter une position de sommeil dite neutre, d’autant plus qu’elle risque d’être statique pendant une longue durée. Une position neutre doit tenir compte de l’axe naturel de la colonne vertébrale et de la tête. Ce qui veut dire que les régions lombaire, dorsale, cervicale et de la tête doivent être alignées.

Se coucher sur le ventre

Si comme Alice, vous recherchez le calme et la liberté en dormant sur le ventre, vous êtes certainement de ceux qui se réveillent avec des douleurs au cou et au bas du dos. Vous avez possiblement de fréquents maux de tête. Si c’est votre cas, je vous suggère fortement d’apprendre à dormir sur le dos ou sur le côté.

Pour réussir à dormir sur le ventre adéquatement, il faudrait dormir les jambes relevées en grenouille et un oreiller sous l’abdomen afin de rétablir une bonne courbure de la colonne vertébrale dans la région lombaire (bas du dos). Pour sauvegarder les muscles de votre cou, il faudrait garder la tête droite, dans le bon axe ; c’est le plus difficile dans cette position. Pour y arriver, vous ne devez pas dormir la tête sur le côté, mais bel et bien le nez vers le matelas.

Dans cette position, et pour respirer librement, il faudrait surélever le corps en entier avec des oreillers et en mettre une sous le front pour libérer le visage ; le danger est d’avoir la nuque vers l’arrière. Vous comprenez alors que dormir sur le ventre dans une position anatomiquement adéquate est un défi en soi. Je vous suggère donc d’oublier cette position de sommeil !

Se coucher sur le dos

La confiance que Jean-Christophe témoigne par son habitude de dormir sur le dos est belle à voir ; on dirait un soldat prêt à réagir. Malgré tout, à son réveil, il a certaines lourdeurs dans les jambes et des douleurs au niveau des genoux ; il a la sensation que la tête est lourde. Il lui arrive, également, d’avoir un inconfort au bas du dos, persuadé que c’est parce qu’il travaille fort physiquement et qu’il s’entraine beaucoup ; ce qui est effectivement une partie de la réponse.

Se coucher sur le dos est une excellente façon de dormir. Il faut néanmoins s’assurer que notre position est la plus neutre possible pour que notre musculature relâche complètement. Pour que Jean-Christophe et vous puissiez vous réveiller en pleine forme et que vous soyez prêt à affronter votre quotidien, je vous suggère de dormir avec un oreiller mince sous vos épaules et votre tête ; la circulation sanguine se fera mieux et diminuera la sensation d’avoir une tête lourde au réveil ; assurez-vous que vos oreilles soient au même niveau que les épaules.

Je vous suggère également de mettre un oreiller sous vos genoux ; de cette façon, les tensions aux genoux et au bas du dos seront diminuées ; puisque la circulation sanguine sera améliorée, vous n’aurez pas la sensation d’avoir les jambes lourdes. N’hésitez pas à mettre également un oreiller sous les cuisses pour diminuer davantage vos tensions à la région lombaire. Et pour ceux qui ont besoin de réconfort et de chaleur, mettez un oreiller moelleux sur votre abdomen, vos mains par-dessus.

Se coucher sur le côté

Beaucoup de gens, comme Sophie, dorment sur le côté. C’est une bonne habitude à prendre. Il faut tout de même s’assurer de notre confort et garder notre colonne vertébrale dans l’axe. Dans le cas de Sophie, elle a de petites raideurs au niveau du cou et son dos la fait souffrir à son réveil. C’est peut-être votre cas aussi !?!

Voici quelques conseils pour améliorer votre sommeil dans cette position chaleureuse et réconfortante. Commençons par l’oreiller : assurez-vous d’avoir une bonne épaisseur, de sorte que votre tête reste dans le même axe que votre colonne vertébrale. Plus votre épaule est large, plus votre oreiller sera épais. Attention, cependant, de ne pas dormir la tête trop haute.

Pour obtenir un bon relâchement au niveau du dos et des jambes, je vous suggère de replier les deux jambes pour recréer la position du fœtus et d’installer un oreiller entre vos deux jambes. Si vous préférez replier une jambe plus que l’autre, privilégiez celle sur le dessus. Vos bras pourront être pliés, un peu comme vos jambes.

Conclusion

Chaque personne gagne à évaluer sa posture de sommeil pour se réveiller en forme et sans douleur. L’important est de garder une position dite neutre afin que les muscles se relâchent et que votre corps puisse récupérer. C’est de cette façon également que votre organisme pourra utiliser son énergie à la réparation des tissus. N’hésitez pas à en parler avec votre orthothérapeute pour trouver la meilleure posture à adopter pendant votre sommeil. Rappelez-vous, il faut 21 jours pour adopter une nouvelle habitude de vie ; alors, ne baissez pas les bras aussi vite…

Normand-Jimmy Gamache, orthothérapeute

Recommandations de base

• Échauffez-vous avant de commencer à étirer. L'échauffement permet de préparer les muscles à l'étirement en augmentant la température corporelle et la circulation sanguine.
• Étirez lentement et en douceur, jamais de manière brusque ou violente. Il est important de ne jamais forcer ou tirer sur les muscles pour éviter les douleurs ou les blessures.
• Maintenez chaque étirement pendant au moins 30 secondes. Plus vous maintenez longtemps l'étirement, plus les fibres musculaires se relâchent, vous permettant d'obtenir un étirement plus complet.
• Respirez profondément et régulièrement pendant que vous étirez. La respiration profonde aide à détendre les muscles et à améliorer la circulation sanguine.
• Étirez les muscles dans plusieurs directions différentes pour un étirement complet.

Il est important de rappeler que les étirements ne doivent pas causer de douleur, ils doivent être confortable. En cas de douleur, il est préférable de s'arrêter et d’en discuter avec votre kinésithérapeute ou votre orthothérapeute. Il pourra évaluer la situation avec vous et vous donner des instructions précises pour bien effectuer l’exercice recommandé à votre réalité. Au besoin, il pourra vous suggérer de consulter votre médecin ou un autre type de professionnel.

En conclusion

En somme, les étirements sont un moyen efficace de maintenir la flexibilité musculaire et de prévenir les douleurs et les blessures. Il est important de bien étirer pour éviter les dommages et obtenir les meilleurs résultats. Il est important de se rappeler d'échauffer avant de commencer à étirer, étirer lentement et en douceur, maintenir chaque étirement pendant au moins 30 secondes, respirer profondément et régulièrement, et étirer les muscles dans plusieurs directions différentes pour un étirement complet. Il est également important de consulter un professionnel de la santé avant de commencer un programme d'étirement pour éviter les complications ou si vous ressentez de la douleur lors des étirements.

Normand-Jimmy Gamache, orthothérapeute

Pour soulager les douleurs

Circulation sanguine

La massothérapie peut aider à améliorer la circulation sanguine dans les muscles du dos. En augmentant la circulation sanguine, les nutriments et l’oxygène sont transportés vers les tissus, ce qui peut aider à réduire l’inflammation et la douleur. Une meilleure circulation sanguine aide également à éliminer les déchets métaboliques qui peuvent causer des adhérences et des douleurs chroniques au dos.

Détendre les muscles

La massothérapie peut également aider à détendre les muscles tendus et endoloris du dos. Les muscles tendus peuvent causer des douleurs chroniques au dos, en particulier dans la région lombaire. La massothérapie spécialisée peut aider à réduire la tension dans les muscles en utilisant des techniques manuelles comme le massage et les mobilisations musculaires pour étirer ou renforcer les muscles. Certains outils tels que le vibromasseur, les ventouses et les lames de Guasha/IASTM aident également à obtenir d’excellents résultats.

Flexibilité et mobilité

La massothérapie peut également aider à améliorer la flexibilité et la mobilité des articulations du dos. Les articulations rigides peuvent causer des douleurs chroniques au dos, en particulier dans la région lombaire. La massothérapie peut aider à améliorer la flexibilité et la mobilité des articulations en utilisant des techniques manuelles permettant l’étirement des fibres musculaires et des fascias. C’est là que le massothérapeute spécialisé utilise le mouvement à travers le massage pour répondre à cet objectif.

Effets du stress

Soyons honnêtes, le stress augmente les tensions musculaires ; et ce, même lorsque vous ne réalisez pas être stressé. Le stress est une réponse à un stimulus. Plus vous êtes stimulé, plus les réponses (le stress) s’accumulent. Le massage aide à réduire les effets du stress, de l’anxiété et de l’insécurité qui peuvent aggraver les douleurs chroniques au dos. La détente des muscles tendus et endoloris réduit les niveaux de cortisol, l’hormone du stress. Si vous souffrez de douleurs chroniques au dos, la détente va vous permettre de vous sentir plus détendu et confiant.

En conclusion

​​​​​Il est important de noter que la massothérapie ne doit pas être considérée comme un remplacement pour les soins médicaux, mais plutôt comme un complément pour aider à soulager les douleurs chroniques au dos. Consultez votre massothérapeute spécialisé et votre médecin pour discuter de vos besoins et de vos limites physiques afin d’obtenir des conseils adaptés pour diminuer vos douleurs. Il est fort à parier que votre massothérapeute vous encouragera à jumeler la massothérapie avec l’entrainement physique, un programme d’exercice ou d’autres formes de thérapie selon votre réalité.

Normand-Jimmy Gamache, orthothérapeute

BIENFAITS

L’utilisation de l’IASTM permet de :

• Soulager les douleurs ;
• Diminuer ou augmenter le tonus musculaire ;
• Diminuer les adhérences ;
• Donner de la souplesse à la peau ;
• Favoriser la mobilité articulaire.

 
DÉROULEMENT

Après avoir réchauffé la zone ciblée avec le massage, le thérapeute utilise un instrument dont la forme peut différer en fonction de la région à travailler. Il met une pression sur la peau avec l’instrument afin de frotter ou gratter les fascias et les muscles ciblés. La pression exercée est adaptée au seuil de tolérance du client, mais aussi selon le but recherché. L’IASTM est utilisé comme technique complémentaire lors d’un soin en massothérapie, kinésithérapie ou orthothérapie.
 
CONCLUSION

Grâce à cette technique complémentaire, nous pouvons travailler différemment les tissus mous du corps : graisses, tissus fibreux, vaisseaux sanguins, vaisseaux lymphatiques, nerfs, fascias, muscles, tendons, ligaments. Il est étonnant de constater les résultats rapides sur les déséquilibres musculaires, les problématiques inflammatoires et les adhérences. Venez l’essayer !
 
Normand-Jimmy Gamache, Orthothérapeute

Principaux avantages

Amélioration de la gestion des déchets métaboliques

L’une des principales raisons pour lesquelles la massothérapie est si bénéfique pour les sportifs est qu’elle peut aider à réduire l’accumulation d’acide lactique dans les muscles. L’acide lactique est un produit de décomposition de l’acétylcholine, un neurotransmetteur qui est produit lorsque les muscles sont sollicités pendant l’exercice. Lorsque l’acide lactique s’accumule dans les muscles, il peut causer des douleurs et des raideurs. La massothérapie peut aider à réduire l’accumulation de l’acide lactique en augmentant la circulation sanguine dans les muscles et en aidant à éliminer les déchets métaboliques.
 

Amélioration de la récupération physique

La massothérapie peut également aider les sportifs à récupérer plus rapidement après un entraînement ou une épreuve sportive. Elle permet de détendre les muscles tendus et endoloris, ce qui peut réduire le temps de récupération. Elle peut également aider à améliorer la flexibilité et la mobilité des articulations, ce qui peut prévenir les blessures et améliorer les performances sportives.
 

Amélioration de la gestion de l’anxiété avant les compétitions

La massothérapie peut également aider les sportifs à gérer le stress et l’anxiété associés à la compétition. Elle peut aider à détendre les muscles tendus et endoloris, ainsi qu’à réduire les niveaux de cortisol, l’hormone du stress. Cela peut aider les sportifs à se concentrer sur leur performance et à se sentir plus détendus et confiants.
 

Amélioration de la qualité de sommeil

Enfin, la massothérapie peut également aider les sportifs à améliorer leur qualité de sommeil. Les douleurs musculaires et les tensions peuvent rendre difficile de s’endormir et de rester endormi, ce qui peut causer de la fatigue et des performances sportives moins bonnes. La massothérapie peut aider à réduire les douleurs et les tensions, ce qui peut améliorer la qualité de sommeil.
 

Conclusion

Il est important de noter que la massothérapie est un complément pour aider à améliorer la récupération et la performance sportive. N’hésitez pas à discuter avec votre massothérapeute spécialisé de la Clinique Halte-Mieux-être de vos besoins et de vos limites physiques. Nous pourrons travailler avec vous Pour améliorer votre qualité de vie et vous diriger vers d’autres professionnels, au besoin.

Normand-Jimmy Gamache, orthothérapeute

Cependant, il est facile de les regrouper et je vous en présente cinq :

• Douleurs musculaires : Je dois l’avouer, la plupart des gens fonctionnent à la douleur et c’est la raison première qui fera que les gens vont venir à la Clinique Halte-Mieux-être une première fois. La douleur est l’indicateur qu’il est temps de s’occuper de soi.
• Douleurs articulaires : Que ce soit pour diminuer l’inflammation, augmenter l’amplitude articulaire ou tout simplement pour bouger mieux, la massothérapie spécialisée est une thérapie manuelle de choix qui apporte d’excellents résultats. C’est agréable de voir une différence notable avant et après un massage.
• Effets du stress : La vie va tellement vite. Pensons, par exemple, au quotidien, au travail, aux événements particuliers tels que les déménagements, les changements d’emplois, l’achat d’une maison, l’arrivée d’un enfant dans la famille, le décès d’un proche, l’annonce d’une maladie. Que ce soit un bon stress ou un mauvais stress, le stress aura toujours un impact sur vous. Et ce, même quand vous ne vous en rendez pas compte.
• Remise en forme : Quels que soient vos objectifs, la massothérapie et votre thérapeute peuvent vous accompagner dans vos démarches. Vous désirez vous mettre en forme, augmenter vos performances dans un sport ou encore être en mesure d’effectuer les activités du quotidien, votre massothérapeute spécialisée vous accompagnera.
• Prévention : Un peu comme nous prenons le temps d’entretenir notre véhicule avec des visites régulières au garage, nous devrions prendre le temps d’entretenir la plus importante machine qui soit : votre propre corps ! Et avouez que vous le méritez amplement.

 
En résumé, se faire masser peut améliorer votre qualité de vie en soulageant vos douleurs musculaires et articulaires, en réduisant les effets du stress, en aidant à la remise en forme et en prévenant les tensions musculaires. C’est également un moyen de prendre soin de soi et de se détendre. Il est donc important de prendre le temps de s’accorder une pause bien méritée et de s’occuper de votre corps.
 
Et si tout va bien, pourquoi investir ce temps pour soi ? Pour s’assurer que les tensions musculaires et les douleurs ne reviennent pas… et pour le plaisir tout simplement !
Au plaisir de vous voir bientôt,
 
Normand-Jimmy Gamache, orthothérapeute

Comment développer cette conscientisation corporelle

​​​​​Heureusement, il existe plusieurs méthodes pour développer votre conscientisation corporelle tel que :

La méditation

La méditation est une pratique qui consiste à vous concentrer sur un objet, une pensée ou une respiration pour calmer votre esprit et prendre conscience de votre corps.

Le yoga : 

Le yoga est une pratique qui combine des postures physiques, une respiration consciente et une méditation pour développer votre conscientisation corporelle.

La pratique de la conscience corporelle : 

Cela inclut la marche consciente, la danse consciente, la pleine conscience en mouvement, qui implique de se concentrer sur les sensations du mouvement et de la respiration. C’est un peu comme si vous deviez prendre le temps d’ÊTRE et non pas seulement de FAIRE.

Le massage : 

Le massage est également une méthode efficace pour développer votre conscientisation corporelle.

La massothérapie et la conscientisation corporelle

Lorsque vous recevez un massage, vous êtes plus alerte sur ce qui se passe dans votre corps, de ses tensions et de ses douleurs. La preuve, vous vous souvenez certainement d’avoir dit quelque chose du genre pendant un massage : « Oh, je n’avais pas réalisé que j’avais mal à cet endroit. ». Vous pouvez dans ce cas apprendre à identifier les zones de tension et de douleur et à les traiter de manière efficace dans votre quotidien.

En détendant vos muscles et en réduisant vos douleurs, vous améliorez votre posture et votre mouvement. En pratiquant régulièrement le massage, vous développez une meilleure conscientisation de votre corps, donc de ses besoins.

En conclusion

En résumé, la conscientisation corporelle est l’importance de prendre conscience de notre corps, de ses sensations et de ses mouvements. Cela peut vous aider à mieux comprendre votre corps et à développer une relation plus saine avec lui. Cela peut également aider à améliorer votre santé mentale en réduisant le stress et l’anxiété. En combinant le massage avec d’autres pratiques de conscientisation corporelle comme la méditation ou le yoga, vous pouvez renforcer les bienfaits pour votre santé physique et mentale.

Normand-Jimmy Gamache, orthothérapeute

L'alimentation

Il existe plusieurs éléments clés pour bien nourrir vos muscles grâce à l’alimentation :

Protéines : Les protéines sont essentielles pour la croissance et la réparation des muscles. Il est recommandé de consommer suffisamment de protéines pour maintenir et augmenter la masse musculaire. Les aliments riches en protéines comprennent la viande, le poisson, les œufs, les produits laitiers et les légumineuses.

Glucides : Les glucides sont l’énergie principale utilisée par les muscles lors de l’entraînement. Il est donc important de consommer suffisamment de glucides pour fournir de l’énergie aux muscles pendant l’exercice. Les aliments riches en glucides comprennent les fruits, les légumes et les grains entiers.

Graisses saines : Les graisses saines, comme les acides gras oméga-3 et les acides gras mono-insaturés, aident à maintenir les niveaux d’énergie et à réduire l’inflammation. Les aliments riches en graisses saines comprennent les avocats, les noix et les graines.

Vitamines et minéraux : Les vitamines et les minéraux sont importants pour la récupération musculaire et la santé globale. Il est donc important de consommer suffisamment de fruits et légumes pour obtenir les nutriments nécessaires.

D'autres éléments clés
 

Parmi les autres éléments clés pour bien nourrir nos muscles :

Hydratation : L’eau est essentielle pour la récupération musculaire et l’élimination des déchets produits par l’exercice. Buvez suffisamment d’eau pour maintenir une bonne hydratation.

Mouvement : Pour que l’oxygène et les nutriments puissent nourrir efficacement le muscle, le corps utilise le mouvement. Les liquides circulent à travers notre organisme grâce, entre autres, aux réseaux sanguin et lymphatique. Ces derniers sont grandement aidés par l’activation des muscles. Il est donc important de bouger régulièrement.

En conclusion

Donc, le muscle a des besoins spécifiques pour son fonctionnement optimal et demeurer en bonne santé. Assurez-vous de fournir les protéines, les glucides, les graisses saines, les vitamines et les minéraux nécessaires à la bonne santé de vos muscles. L’hydratation et l’activité physique permettront également de faciliter la bonne nutrition de vos muscles.

Il est important de noter que les besoins nutritionnels varient en fonction de chaque individu. Les différents professionnels de la santé sont là pour vous aider, au besoin.

Normand-Jimmy Gamache, orthothérapeute

Quelques ajustements :

Voici quelques conseils simples, pour améliorer votre posture au bureau : 

• Assurez-vous que votre chaise est réglée à la bonne hauteur. Les genoux doivent être pliés à un angle de 90 degrés, et les pieds doivent être posés à plat sur le sol. 
• Utilisez un repose-pied pour soutenir vos pieds, et soulager la pression sur vos jambes et votre dos. 
• Placez votre ordinateur à une distance confortable de vos yeux, de sorte que vous n'ayez pas à pencher la tête en avant pour voir l'écran. 
• Utilisez un clavier et une souris ergonomiques, pour soulager la pression sur les poignets et les mains. 
• Assurez-vous que vos épaules sont détendues, et que vous ne les haussez pas vers les oreilles. 
• Faites des pauses régulières pour vous étirer et bouger. 

Une question d’adaptation

Il est également important de rappeler que la posture idéale, varie d'une personne à l'autre en fonction de leur morphologie, donc il est important de s'adapter à ses propres besoins. Ainsi, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé, pour vous aider à ajuster votre posture au bureau. N’hésitez pas à aborder le sujet avec votre orthothérapeute, afin qu’il vous aide à trouver les bonnes stratégies et qu’il adapte votre plan de traitement selon votre réalité du quotidien.

En conclusion

En somme, une bonne posture au bureau est synonyme d’amélioration de votre qualité de vie en tant que travailleurs. Il est important de prendre conscience de votre posture, et de l'ajuster régulièrement pour éviter des douleurs et des problèmes de santé à long terme. En suivant les conseils ci-dessus et en s'adaptant à ses propres besoins, vous pouvez améliorer votre posture au bureau, et augmenter votre confort et votre productivité.

Les entorses et les tendinites

Les entorses et les tendinites sont également des contrecoups courants de l'utilisation excessive de nos muscles. Les entorses se produisent lorsque les ligaments qui relient les os aux muscles sont étirés ou déchirés, tandis que les tendinites se produisent lorsque les tendons qui relient les muscles aux os sont enflammés. Ces problématiques communes peuvent être causées par des mouvements répétitifs ou des mouvements brusques.

La déshydratation

La déshydratation est un autre contrecoup de l'utilisation de nos muscles. Lorsque nous faisons de l'exercice, nous perdons de l'eau à travers la transpiration. Si nous ne remplaçons pas cette eau perdue, cela peut entraîner une déshydratation et une fatigue musculaire. Les personnes qui font de l'exercice en extérieur par temps chaud ou qui effectuent des exercices intenses sont particulièrement à risque de déshydratation. Pour ceux qui ne boivent que très peu d’eau, même s’ils sont peu actifs, la possibilité de souffrir de cette déshydratation et de cette fatigue musculaire est aussi présente.

En conclusion

Enfin, l'utilisation excessive de nos muscles peut également entraîner des troubles du sommeil. Les douleurs musculaires et les tensions peuvent rendre difficiles la détente et l’endormissement, ce qui peut causer de l'insomnie et de la fatigue.

Il est important de se rappeler que l'utilisation de nos muscles est importante pour maintenir une bonne santé physique et mentale, mais qu'il est également important de les utiliser de manière appropriée pour éviter les contrecoups douloureux et invalidants. Il est conseillé de consulter un thérapeute manuel tel qu’un orthothérapeute ou un médecin pour discuter de vos besoins et de vos limites physiques, et pour obtenir des conseils sur la façon de les utiliser de manière sûre et efficace.

Composantes de la douleur

Quelle que soit l’origine de la douleur, c’est un phénomène complexe dont la perception fait intervenir quatre composantes.

Composante sensorielle

Pour faire court, disons que beaucoup de nos structures possèdent des capteurs sensitifs, ce qui leur permet d’envoyer des renseignements vers notre cerveau sur l’état de la situation. Une fois que le cerveau reçoit l’information, il décode et analyse ce qui se passe pour ensuite réagir. Cette composante sensorielle permet d’analyser la nature, la localisation, la durée et l’intensité de la stimulation douloureuse. C’est alors qu’un message d’alerte est envoyé sous forme d’expérience désagréable, la douleur. Déjà, selon ce que le cerveau fait des messages reçus, la résultante peut être très variée.

C’est cette composante qui fait que pendant le massage, l’analyse du cerveau concernant l’état de votre corps se modifie. Rappelez-vous les fois où lors de votre massage vous avez dit « Oh, je ne savais pas que j’avais mal à cet endroit » ou encore « Le lendemain, je me sentais raqué même si pendant le massage je n’avais pas mal ».

Composante affective et émotionnelle

L’analyse de la situation et la réaction que le cerveau coordonne sont teintées par la connotation désagréable et pénible liée à la perception de la douleur. Cette perception est pour certains sans importance alors que pour d’autres, elle peut évoluer vers des états d’anxiété et de dépression. La durée de la sensation joue pour beaucoup pour cette composante.

Ce qui veut également dire que lorsque nous sommes dans un état de fatigue ou de stress, la perception de la douleur pourrait augmenter en intensité.

Composante cognitive

Les processus mentaux sont susceptibles de moduler et d’influencer la valeur de la douleur en se référant à la signification ou à nos interprétations de la situation. Nos croyances, le contexte et la motivation peuvent aussi changer la perception de la douleur. Les souvenirs et les expériences du passé vont modifier l’analyse.

En effet, la perception de la douleur peut être atténuée momentanément quand nous sommes distraits par une occupation. En exemple, pensons à l’enfant qui tombe de sa bicyclette. Si le parent se met à paniquer, la perception de la douleur de l’enfant risque d’être plus élevée que si on lui indique que ce n’est pas grave et qu’il peut réessayer. C’est ce qui explique également pourquoi un sportif termine sa compétition malgré une blessure importante.

Composante comportementale

Ici, ce sont l’ensemble des manifestations observables (végétatives, verbales et motrices) qui vont teinter la perception de la douleur.

Nos cris, nos grimaces, nos réactions d’évitement, nos postures antalgiques, notre immobilité ou notre agitation, par exemple, peuvent augmenter ou diminuer la douleur perçue. Soyons honnêtes, le comportement autour de nous peut également changer notre perception.

 ​​​​​L'influence

L’ensemble de ces dimensions est lui-même sous l’influence de facteurs environnementaux, professionnels, familiaux, sociaux et culturels, passés ou présents.

Jacquemin & De Broucker (2014) décrit la douleur globale ou totale selon quatre volets :

• Douleur psychologique (isolement, crainte, dépression, colère) ;
• Douleur spirituelle (remords, sens de fin de vie, croyances) ;
• Douleur sociale (économique, familiale, au travail, avec les amis) ;
• Douleur physique (maladies, symptômes, traitements, traumatismes).

La douleur, un symptôme pas commode

En résumé, maintenant nous comprenons que la douleur est le résultat d’une interprétation de différents messages qui est influencée par nos émotions, nos comportements et nos expériences. L’avantage de cette connaissance est que nous savons que nos pensées positives peuvent être favorables et diminuer la perception de notre douleur. Ce n’est pas un ingrédient magique, mais il est utile.

Un peu comme la fièvre nous indique qu’il se passe quelque chose avec notre système immunitaire sans que l’on puisse dire exactement quelle en est la cause, la douleur est un symptôme qui nous donne un signal d’alarme. Je dirais que c’est un type de symptôme universel ; la douleur est là pour bien des raisons. L’origine de la lésion peut être locale, nerveuse, organique ou en lien avec une mauvaise posture. C’est pourquoi votre massothérapeute, ou tout autre professionnel de la santé vous questionnent pour mieux cibler l’origine de la douleur et être en mesure de traiter la cause la plus plausible possible et non pas seulement diminuer le symptôme de façon temporaire.

Dans un prochain article, j’aborderai quelques types de douleur, dont la douleur aiguë et la douleur chronique.

D'ici là, je vous souhaite une belle semaine !

Normand-Jimmy Gamache, orthothérapeute

Quelques titres professionnels : Massothérapeute / Kinésithérapeute / Orthothérapeute

Massothérapeute

Le thérapeute utilise différentes techniques de massage pour diminuer les effets du stress et travailler sur les problématiques communes en lien avec les tissus mous tels que les muscles, les tendons, les ligaments, les capsules, les fascias.

Kinésithérapeute

Le massothérapeute utilise le mouvement pour redonner au corps sa coordination optimale et sa souplesse lors des mouvements. Le kinésithérapeute agit sur les effets du stress intense et l’équilibre musculaire ainsi que sur les problématiques musculosquelettiques communes telles que les contractures, les tendinites, les bursites, les entorses, les capsulites, les blessures musculaires, les effets de l’arthrose, etc.

Il aura un impact sur les muscles superficiels qui s’occupent du mouvement et sur les muscles intermédiaires qui stabilisent les articulations lors des mouvements.

Orthothérapeute

Le kinésithérapeute spécialisé utilise des techniques et des mouvements spécifiques pour travailler sur les muscles de la posture et de la respiration ; les muscles profonds. L’orthothérapeute intervient sur les systèmes musculaire et articulaire et vise le bon fonctionnement du système musculosquelettique.

Conclusion

En résumé, un massothérapeute spécialisé a plusieurs formations spécifiques qui lui donnent différentes techniques de massage et différents outils à mettre à votre service. Le kinésithérapeute est un massothérapeute spécialisé dans le mouvement ; l’orthothérapeute est un kinésithérapeute, donc un massothérapeute à la base, spécialisé dans la posture et les effets du stress en redonnant une amplitude respiratoire optimale.

À la Clinique Halte-Mieux-être, les massothérapeutes spécialisés se démarquent par leurs savoirs et la qualité de leur formation ; plus de 1200 heures de formation pour l’orthothérapie. Aimeriez-vous savoir comment nous adaptons nos soins de massothérapie à votre réalité en tant que massothérapeute spécialisé ? Ce sera un des prochains sujets. Salutations chaleureuses, Normand-Jimmy Gamache, massothérapeute spécialisé, orthothérapeute